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Le circuit des rempart est un parcours d’environ deux kilomètres le long des anciens remparts médiévaux d’Estavayer.
Il permet de découvrir de nombreuses curiosités historiques de la ville, comme la collégiales St-Laurent, le château de Chenaux ainsi que de nombreuses portes et tours défensives.
La vue sur la ville médiévale d’Estavayer depuis le bord du lac de Neuchâtel. Le château sur la gauche et la collégiale sur la droite.
Deux solides tours de garde le long des remparts d’Estavayer.
Les ruelles de la vieille ville avec la collégiale St-Laurent.
Le magnifique château de Chenaux le long du parcours.
Une vidéo courte sur le circuit des remparts d’Estavayer. (Cliquez sur le titre pour le mode plein écran)
Le parcours du circuit des remparts. Image : estavayer-payerne.ch
Le banc des halles est l’emplacement de départ du circuit des remparts d’Estavayer. Il se trouve juste à côté de la collégiale St-Laurent.
Le banc des halles avec la collégiale en arrière-plan.
Le banc des halles le long de la Grand-Rue. Sur la gauche, la rue de l’Hôtel-de-Ville.
La belle galerie menant au banc des halles.
La collégiale St-Laurent est une église catholique construite entre 1379 et 1525. Le visiteur peut parcourir l’intérieur de l’édifice et découvrir le magnifique chœur.
Voir l’article dédié à la collégiale St-Laurent.
La collégiale d’Estavayer-le-Lac.
L’intérieur de l’église catholique.
La maison de la dîme tient son nom de l’impôt qu’elle prélevait sur les récoltes. Elle abrite le musée d’Estavayer et ses grenouilles.
Voir l’article dédié sur le musée d’Estavayer et ses grenouilles.
L’arrivée à la maison de la dîme depuis la collégiale par la ruelle de la Fausse-Porte.
Des pressoirs sous la maison de la dîme.
La maison de la dîme le long de la rue du musée.
Les fameuses grenouilles du musée.
La porte de Grandcour, ou porte du Camus, se trouve, avec l’imposante tour de l’Écureuil, à l’extrémité nord-est des remparts d’Estavayer. Ces deux édifices sont construits entre la moitié du 14ᵉ siècle et le début du 15ᵉ.
La rue du Camus qui mène à la porte de Grandcour. Sur la gauche, la rue des Granges.
La porte de Grandcour et la tour de l’Écureuil.
La tour de l’Écureuil. En arrière-plan, le château de Chenaux. Sur la gauche, le chemin des Écureuils. Sur la droite, la rue de la Vy-Neuve.
La tour de l’Écureuil depuis le chemin des Écureuils.
Au Moyen Âge, le château de Chenaux était l’un des trois châteaux d’Estavayer et le seul toujours existant aujourd’hui. Il impressionne par ses grandes tours et sa barbacane. Le château ne se visite pas, mais on peut en faire le tour et rentrer dans la cour.
Voir l’article dédié sur le château de Chenaux.
Le chemin du Donjon qui mène au château de Chenaux.
Le passage dans le fossé, sous le donjon et la barbacane.
Le château depuis l’intérieur des remparts, au niveau du parking.
La vue direction ouest depuis le pied de la tour de l’Ouest.
La vue direction nord-ouest depuis le pied de la tour de l’Ouest.
La vue direction nord depuis le pied de la tour de l’Ouest.
Le chemin entre le château de Chenaux et Motte-Châtel passe par l’étroite rue du château depuis laquelle on aperçoit le clocher de la collégiale.
À l’emplacement de la butte Motte-Châtel s’élevait le premier château d’Estavayer, construit dès le 11ᵉ siècle. Ce château a aujourd’hui disparu.
Les Egralets sont un escalier de 105 marches pour 25 mètres de dénivelé. Ils relient la ville haute à la ville basse.
Les bâtiments en blanc à l’emplacement de l’ancien château de Motte-Châtel.
La vue depuis la ville basse d’Estavayer. Les bâtiments, en haut à droite, sur l’emplacement de l’ancien château de Motte-Châtel.
Le haut de l’escalier des Egralets.
Le clocher de la collégiale depuis le bas des Egralets.
Le clocher de la collégiale et le passage des Egralets depuis la basse ville.
Édifiée au 14ᵉ siècle, la maison des Sires est occupée, à la suite à l’abandon du château de Motte-Châtel, par des membres des coseigneurs d’Estavayer jusqu’à 1632.
La maison des Sires, en blanc sur la droite, et, au milieu, l’impasse de Motte-Châtel qui mène au portail de la place de Moudon.
La maison de tir est une puissante tour de défense au bord de la place de Moudon, surplombant le lac de Neuchâtel.
La maison de tir était le lieu d’entraînement des archers et des arquebusiers qui tiraient sur des cibles placées en contrebas du château de Chenaux.
Le portail d’entrée de la place de Moudon.
Sur la gauche, le tilleul planté au 16ᵉ siècle à l’occasion de l’aménagement de la place. Sur la droite, le château de Chenaux.
La place de Moudon avec la maison de tir sur la gauche et le château sur la droite.
Le sommet de la maison de tir.
L’intérieur de la maison de tir.
La charpente de la maison de tir.
La vue sur le lac de Neuchâtel et le chaine du Jura depuis la place de Moudon.
La très belle vue sur le château de Chenaux depuis la place de Moudon. De droite à gauche, la tour Rouge, la tour de l’Ouest, le donjon et la barbacane.
La tour de tir depuis le pied du château de Chenaux.
Le pied de la maison de tir. Un escalier permet de monter au sommet de la tour.
La porte de la Rochette permettait d’entrer dans la ville basse médiévale, un quartier habité par des pêcheurs et bateliers.
La porte se trouvait au pied du lac de Neuchâtel. Voir la correction des eaux du Jura.
La rue de la Rochette depuis l’intérieur de la ville basse d’Estavayer.
La vue depuis la porte de la Rochette en direction du château de Chenaux. Le chemin qui mène à la tour de tir sur la droite.
La chapelle de Rivaz est construite à la fin du 15ᵉ siècle, elle était utilisée comme lieu de prière pour les pêcheurs.
Il n’est pas possible de visiter l’intérieur de l’église.
La chapelle de Rivaz avec le sommet de la collégiale St-Laurent.
La chapelle de Rivaz le long de la Grand-Rue.
La ruelle des Moulins témoigne de l’activité qui y règne entre le 13ᵉ siècle et le milieu du 20ᵉ siècle.
La partie supérieure de la ruelle des Moulins en direction du bas.
La partie inférieure de la ruelle des Moulins en direction du bas.
La vue depuis le bas de la ruelle des Moulins (droite) au niveau de la chapelle de Rivaz. Sur la gauche, la Grand-Rue.
Le bas de la ruelle des Moulins en direction du bas. La visite continue sur la gauche, par la route de la Thiolleyres.
La porte de la Thiolleyres permettait l’accès à la ville basse depuis le sud-ouest.
Édifiée au milieu du 17ᵉ siècle, la tour des Cormontants est la dernière tour construite pour protéger les remparts d’Estavayer.
La porte de la Thiolleyres et la tour des Cormontants se trouvaient à quelques mètres du rivage du lac de Neuchâtel et de l’ancien port.
La route de la Thiolleyres avec la porte en arrière-plan.
La porte de la Thiolleyres avec la tour des Cormontants.
De gauche à droite, la tour de la Trahison, la porte de la Thiolleyres et la tour des Cormontants.
La porte de la Thiolleyres avec la tour de la Trahison sur la droite.
La vue depuis la tour de la Trahison. Les remparts, la tour de la Thiolleyres et la tour des Cormontants.
La vue depuis la tour de la Trahison. La tour des Cormontants.
La tour de la Trahison est une échauguette construite au début du 17ᵉ siècle.
Depuis le 19ᵉ siècle, elle tient son nom d’un événement historique où, en 1475, les défenseurs de la ville auraient fui, apeurés par l’arrivée des Confédérés, à l’aide de corde en direction du lac. Les cordes laissées sur place auraient permis alors aux assaillants d’envahir la ville.
Le chemin qui grimpe sous la tour de la Trahison. La tour sur la droite n’est pas une tour médiévale.
La chute d’eau sous la tour de la Trahison.
L’escalier qui permet de se rendre à la rue du cimetière, sous la tour de la Trahison.
La tour de la Trahison depuis la rue du Cimetière.
Sur le chemin des tours de Lombardie et de Savoie, on passe par les fondation de la porte d’Outrepont. Elle est démolie en 1891 pour faciliter la circulation.
Le tunnel menant aux tours de Lombardie et de Savoie.
La tour de Lombardie est construite au 15ᵉ siècle dans le but de lutter contre les Confédérés composés principalement par les cantons de Berne et… Fribourg.
Le sentier des Dominicaines qui suit l’extérieur des remparts. La tour de Lombardie (gauche) et de Savoie (droite).
La tour de Lombardie avec, sur la gauche, une tour ne datant pas de l’époque médiévale.
La tour de Savoie est le dernier vestige du château de Savoie aujourd’hui disparu. Ce château est construit au 13ᵉ siècle et démoli à la fin du 17ᵉ siècle.
La tour de Lombardie (gauche) et de Savoie (droite). En arrière-plan, la collégiale.
La tour de Savoie depuis l’école primaire d’Estavayer.
L’angle du chemin des Dominicaines avec les tours de Lombardie de de Savoie.
Le monastère des Dominicaines existe depuis 13ᵉ siècles. Il est occupé par des moniales (femmes moines). Il est complètement reconstruit au début du 18ᵉ siècle.
Au nord-est du monastère se trouve l’imposante porte des Religieuses qui permettait d’entrer dans la ville depuis Payerne. Il est possible de visiter l’église du monastère.
Voir l’article dédié au monastère des Dominicaines.
L’arrivée par le chemin des Dominicaines sous le monastère. En arrière-plan, la tour des Religieuses.
Le monastère des Dominicaines depuis la route de Payerne. Sur la gauche, la tour de Savoie. Sur la droite, la porte des Religieuses.
La tour et la porte des Religieuses.
La porte des Religieuses avec, en arrière-plan, la collégiale St-Laurent.
L’intérieur de l’église du monastère.
La porte des Religieuses depuis l’intérieur de la ville médiévale et le monastère sur la droite. C’est la fin de la visite !
À la fin du 19ᵉ siècle a lieu la correction des eaux du Jura, des travaux dans le Seeland pour corriger les récurrentes inondations dans cette région. Ceci a pour conséquence la baisse de 2.5 mètres du niveau du lac de Neuchâtel, comme c’est le cas également pour les lacs de Morat et Bienne.
La partie basse de la ville médiévale d’Estavayer, qui était au pied du lac, se retrouve alors à plusieurs centaines de mètres du nouveau rivage.
Le positionnement de la ville médiévale d’Estavayer en rouge. En bleu, le rivage approximatif avant la correction des eaux du Jura et le rivage actuel.
Un dessin de la ville médiévale d’Estavayer où l’on peut voir le niveau du rivage du lac de Neuchâtel d’autrefois. Image : 24heures.ch
Une gouache sur papier de la ville médiévale d’Estavayer datant de 1599. Elle est orienté dans le sens inverse de l’image précédente. Image : hls-dhs-dss.ch
Une gravure d’Estavayer, au milieu du 18e siècle. On remarque bien que l’eau arrivait au pied de la ville basse et de la colline sur laquelle se trouve le château. Image : gsk.ch
La vue sur la ville médiévale d’Estavayer depuis le bord du lac de Neuchâtel, à comparer avec l’image précédente. Au premier plan, l’espace recouvert d’herbe, gagné sur le lac. Le château sur la gauche et la collégiale sur la droite, au-dessus de la ville basse.
Une vidéo de présentation de la ville d’Estavayer-le-Lac.
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Webcam sur le château d’Estavayer-le-Lac.
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